Au Louvre, j’aime les Regalia. Les plus fidèles lecteurs se souviendront que j’ai évoqué les Regalia lors d’un billet sur la galerie Apollon dans des termes assez sévères. Mais alors pourquoi s’extasier de nouveau sur les Regalia ?
Archives mensuelles : janvier 2016
Salle n°8, Le retour
Au Louvre, j’aime la Salle n°8, Le retour. La réponse à un commentaire m’engageait à écrire un billet sur le nommage des salles et comme j’ai promis et qu’il faut toujours tenir ses promesses, aujourd’hui nous allons nous étonner sur le nommage des salles au Musée du Louvre.
Pillage d’un village
Au Louvre, j’aime le Pillage d’un village, dit aussi L’incendie de Wammelger près d’Anvers de Sebastiaen Vrancx. Attention petit dévot vendu au politiquement correct, tartuffe de la bienséance, il ne s’agit pas de faire ici l’apologie de la guerre. Bien au contraire. Nous sommes dans un musée, ce qui nous intéresse c’est le traitement de cette dernière et non la guerre en elle-même.
Red is the new blue
Au Louvre, j’aime que Red is the new blue. Ou comment en partant d’un tableau nous allons pouvoir friser l’hérésie, évoquer la théologie et entre temps se mettre les omos à dos. Quant à ceux qui souhaitent éviter l’hérésie, fuyez cette page, fuyez ce blog. C’est ça la force de l’art.
Pâris
Au Louvre, j’aime Pâris. En dehors du Musée du Louvre j’aime Paris et si Paris est magique, vous allez voir pourquoi Pâris est magnifique. Les connaissances du lecteur s’amoncellent au gré de ses découvertes. Ainsi pour retrouver trace d’un Pâris, il faut remonter dans les vers shakespeariens de Roméo & Juliette. Mais je vais te demander un effort plus grand encore, lecteur, dans la spéléologie des strates de ta mémoire.
Salle n°8
Au Louvre, j’aime la salle n°8 au deuxième étage, aile Richelieu. Avec toutes ces informations je vous souhaite bien du courage pour la retrouver. C’est une des astuces du Musée du Louvre pour que les visiteurs ne retrouvent jamais les œuvres. Cette salle n°8 permet d’infirmer une théorie marxienne selon laquelle l’Histoire se répète, la première fois de façon tragique et la seconde de façon comique. Cette salle permet d’imaginer que si l’Histoire se répète, c’est, en fait, toujours de façon comique. Lire la suite